Mini 7 astuces pour oser cueillir

7 astuces pour oser cueillir et cuisiner les plantes sauvages

Tellement de fois j’entends ces phrases : « J’ai peur de me tromper… »; « Je n’ose pas cueillir… »; « Je ne me sens pas assez sûr(e)… » !

Pourtant, il y a certaines astuces qui peuvent nous aider à cueillir sans crainte et à manger les plantes sauvages avec plaisir.

Dans cette vidéo je vous présente mes 7 astuces pour vous aider à oser cueillir et cuisiner les plantes sauvages :

Ceci est la deuxième vidéo d’une série de trois vidéos que je vous ai préparée à l’occasion de l’arrivée imminente du printemps.

J’ai envie que vous aussi, vous puissiez profiter pleinement de l’abondance en plantes sauvages que nous offre la nature et que nous allons retrouver bientôt !

Surtout, si vous avez des remarques ou des questions, posez-les en commentaire ci-dessous ! (Allez tout en bas de l’article, dans la section commentaires.) J’y répondrai dans ma prochaine vidéo.

Dans cette troisième vidéo je parlerai aussi de :

  • Comment apprendre à reconnaître avec certitude un maximum de plantes dans un minimum de temps ?
  • Quelles sont les plantes sauvages comestibles les plus intéressantes et comment les utiliser au quotidien ?

Si vous n’avez pas encore vu la première vidéo, voici le lien : « Pourquoi manger des plantes sauvages – 5 raisons qui vont vous surprendre ».

Voici le lien vers la troisième vidéo : Manger sauvages toute l’année grâce aux 33 plantes sauvages les plus intéressantes

La formation en ligne « Cueillette et Cuisine des Plantes Sauvages » a ouvert ses portes !

Je vous y accompagne de mars à novembre pour vous aider à :

  • Reconnaître les plantes sauvages comestibles avec certitude
  • Cueillir les bonnes plantes au bon moment
  • Les transformer en bons petits plats savoureux et pleins de vitalité
  • Vous sentir plus relié(e) à la nature
  • Acquérir plus d’autonomie tout en faisant des économies !
Si vous aimez cet article vous allez aussi aimer :  Cueillette et repas sauvage au mois d'août

Pour en savoir plus et embarquer dans l’aventure, vous trouvez toutes les informations ici.

A bientôt pour une année riche en cueillettes !

 

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23 thoughts on “7 astuces pour oser cueillir et cuisiner les plantes sauvages

  1. A 73 ans alors que je me pensais définitivement brouillé avec la reconnaissance des plantes vous avez réussi a susciter mon envie de réessayer.bravo

  2. Bonjour,
    Merci pour cette vidéo qui aide à mettre de côté les a priori et se lancer plus sereinement.
    Je m’intéresse aux plantes sauvages depuis longtemps et j’en cuisine déjà quelques unes mais je me retrouve souvent confrontée au même problème.

    Je ne trouve pas les plantes présentées dans vos vidéos et articles lors de mes balades.
    A l’inverse, je croise beaucoup de plantes que je ne sais pas identifier.

    Comment me conseilleriez-vous de procéder, étudier des plantes que je ne trouverai peut-être pas ou chercher à identifier celles que je suis sûre de trouver ?
    Avez-vous des conseils pour localiser autour de chez moi les plantes que vous mettez en lumière ?

    Merci beaucoup pour toutes ces informations que vous partagez avec tant d’enthousiasme. C’est toujours un plaisir de consulter votre blog et vos vidéos.

  3. Bonjour, j’adore vos vidéos et serait ravie de suivre vos formations. cependant j’ai beaucoup de travail au printemps et ne suit pas sur de ma régularité. Est ce possible d’avoir tout de même cette formation ?
    Merci de votre réponse et encor bravo pour ce que vous faites.

    1. Je crois que vous avez trouvez la réponse. 😉
      Bienvenue dans la formation, Pascale !
      En effet, vous suivez la formation à votre rythme et si vous avez raté une leçon, vous pouvez toujours revenir dessus.
      A bientôt !

  4. Merci beaucoup pour le partage souriant et généreux de toutes vos connaissances acquises durant tant d’années et de formations !! Je ne me suis pas encore mises à cueillir au-delà du pissenlit et de l’ortie, mais suis tentée d’en faire plus suite à vos vidéos 😉

  5. bonjour

    Merci pour cette nouvelle vidéo.
    Au sujet des pissenlits, toute la famille des pissenlits se consomme ?
    cordialement

  6. Bonjour, merci pour cette seconde vidéo. Je vis dans une région très agricole. J’ai un petit plan d’eau près de chez moi plein de cresson mais n’ose pas le cueillir car je me dis que l’eau doit être très chargée en nitrates. Ai-je raison? Ce cresson me fait tellement envie mais je ne l’ai donc jamais touché!

  7. Bonjour Nathalie,
    J’ai suivi ta formation l’an passé et l’ai trouvé formidable à tous points de vue !
    J’ai aussi visionné tes deux dernières vidéos, que je trouve excellentes et, suite à ta réponse concernant les céréales, j’ai pensé aux chataîgnes. Elles contiennent beaucoup de glucides complexes et de fibres et peuvent remplacer les céréales et les tubercules. On appelait le chataîgnier « l’arbre à pain » et la chataîgne a longtemps représenté la base de l’alimentation dans certaines régions d’Europe. Préparer les chataîgnes pour les conserver prend beaucoup de temps mais elles ont l’avantage de se récolter plus facilement que les céréales (sauvages ou cultivées) et sont plus grosses…

  8. Merci beaucoup Nathalie pour ces merveilleuses vidéos très intéressantes. Hâte de découvrir la 3ème. J’ai du mal avec les apiacées, j’ai peur de confondre le maceron (Smyrnium olusatrum) avec la cigüe car ni l’une ni l’autre n’ont des poils. Pourtant j’ai repéré un super spot pour couper des feuilles.
    Bravo pour votre blog et toutes vos précieuses informations.

    1. Bonjour Laurence,

      Le maceron a des feuilles à folioles beaucoup plus larges que celles de la ciguë. Les feuilles de cette dernière dont très découpées et ressemblent aux feuilles de carotte. Les fleurs sont bien différentes aussi : celles du maceron sont jaunes/verdâtres, celles de la ciguë blanches.
      Pour gagner en confiance, je vous conseille d’observer avec attention le maceron (ou ce que vous pensez être du maceron) dès le printemps, de le regarder sous toutes les coutures, observer sa tige quand elle monte, ses boutons floraux, les fleurs, les fruits. Puis vous imprégner de son aspect, son toucher, son odeur. Alors, certainement, vous saurez le reconnaître au printemps prochain bien avant qu’il soit en fleurs. C’est un peu comme le petit prince et le renard…

  9. Grand merci Nathalie, j’ai entendu en regardant la vidéo et vais m’empresser d’aller cueillir du cresson. Ce soir je m’inscris à la formation. A bientôt donc. Marie

  10. Cette seconde vidéo a été particulièrement intéressante pour moi – J’y ai obtenu des précisions qui m’ont permis de me rassurer sur ces cueillettes
    Je pense que l’on peut congeler les pesto que je peux faire, car je n’ai pas forcément l’utilisation immédiate après la cueillette et la réalisation. Merci de me confirmer.
    Nicole

  11. toujours aussi précis et documenté. un vrai plaisir.
    quand on a fait la formation on ne fait plus une marche comme avant
    notre regard est aiguisé, curieux, ça fait du bien.
    j’avoue que le rendez vous de la semaine me manque !!!!! alors je reprends les cours…

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