Posez-moi vos questions

Posez-moi vos questions !

J’ai créé le blog https://plantes-sauvages-comestibles.com dans le but d’aider les personnes qui aiment la nature et les plantes à mieux connaître et utiliser les plantes sauvages comestibles.

Depuis septembre, j’ai écrit au moins un article par semaine et, pour mieux illustrer mes propos, j’ai ajouté des vidéos depuis quelques semaines.

Merci pour vos retours !

Vous avez été nombreux à me communiquer vos réactions, en commentaire, par mail ou sur la page Facebook et je vous en remercie !! 😊 Cela me confirme que cette thématique répond à un réel besoin. Nous sommes nombreuses et nombreux à vouloir nous sentir plus proches de la nature. Savoir reconnaître les plantes et savoir à quoi elles peuvent servir t comment les cuisiner y contribue grandement.

Quelles sont vos questions ?

Mais parfois, je me demande si les sujets que j’aborde vous aident vraiment. Y a-t-il des aspects que j’oublie ? Quelles sont les questions que vous vous posez vraiment ? Quelles sont vos interrogations ? Depuis que vous vous intéressez aux plantes sauvages comestibles, avez-vous des questions auxquelles je pourrais répondre ?

Je vous invite à visionner cette vidéo :

Alors à vos claviers ! Je compte sur vous pour me poser toutes vos questions !

Vous apporter un maximum et participer à préserver la nature

J’ai vraiment envie d’être au plus proche de vos préoccupations pour vous apporter un maximum de valeur dans mes vidéos et mes articles. Ce qui me motive derrière ça c’est vous, votre intérêt pour les plantes et la facilité que vous aurez à acquérir de nouvelles connaissances dans ce domaine. Mais c’est aussi ce que nous véhiculons toutes et tous quand nous servons notre pesto au plantain ou notre quiche à la grande berce à notre famille et nos invités : les plantes sont précieuses, utiles et leur existence est vitale. Mieux on connaît la nature, plus on a envie de la protéger et j’ai toujours voulu contribuer à cela.

Si vous aimez cet article vous allez aussi aimer :  Y a-t-il des plantes sauvages sucrées ?

Alors je vous remercie d’être là !

Profitez-en pour demander ce que vouliez toujours savoir, ou la question qui vous est venue lors de votre dernière balade, ou celle qui vous turlupinais lorsque vous prépariez votre salade sauvage l‘autre jour…

Je vous promets de répondre à vos questions dans mes prochaines vidéos.

Posez-moi vos questions en commentaire !

Pour poser vos questions, vous pouvez écrire un commentaire ci-dessous. Le formulaire de commentaire vous demande de renseigner votre adresse mail. Ne vous inquiétez pas : je ne cèderai ou ne vendrai jamais les adresses mail que vous me confiez ! Et si vous ne cochez ni la case pour être informé(e) des réponses ni la case pour être informé(e) des prochains articles, vous ne recevrez aucun mail de ma part. Mais bien sûr, si cela vous intéresse, je serai ravie de vous compter parmi les « abonné(e)s » aux plantes sauvages comestibles.

Alors j’attends vos réponses et je vous donne rendez-vous très bientôt pour y répondre !

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38 thoughts on “Posez-moi vos questions !

  1. Bonjour Nathalie, chacune de tes vidéos est un rafraîchissement, merci !

    J’aimerais connaître les bénéfices sur la santé de certaines plantes comestibles. Par exemple l’ortie. Quels sont ses bienfaits? J’aimerais aussi savoir comment la cueillir sans se piquer. Et dernière question: faut-il bien laver à l’eau les plantes comestibles avant de les déguster?

    Ich danke dir 😉

  2. bonjour,
    Merci, je suis très contente de découvrir encore plus sur les p plantes.
    En ce moment, je collecte les coucous. Deux options, avec ou sans le calice,selon l’utilisation ? infusion ou plat ?
    Merci pour votre réponse et bel après midi.

    1. Bonjour Agnès,
      Vous devez être en altitude pour avoir encore du coucou en fleurs. Ici les fleurs sont déjà passées… mais il reste les feuilles que l’on peut encore utiliser. Quand j’utilise les fleurs pour parfumer une crème dessert, je préfère enlever le calice car il donne une légère amertume. Mais sinon il est tout à fait comestible.
      Avez-vous lu mon article sur le coucou ? https://plantes-sauvages-comestibles.com/la-primevere-mangeons-du-coucou/

  3. Bonjour Nathalie! Pour moi, tes vidéos et livrets sont parfaits. Les plantes sont très bien montrées, on les identifie par conséquent facilement. Les recettes sont très bien expliquées, et pour en avoir essayé un certains nombres, elles sont très bonnes!

    Continue comme cela!

    Bises

  4. Salut Nathalie,
    En fait moi ce qui me préoccupe, c’est d’être capable d’identifier une plante avec certitude. Parce que quand on te vois sur les video ou quant on lit tes articles, ça semble évident et puis tu fait deux pas dans ton jardin et là gros doute ! Tu vois par exemple moi j’aimerais bien que tu nous en décrivent deux par exemple (une comestible et l’autre non) qui se ressemblent vraiment et que tu nous expliques comment tu les différencies. Ce qui m’intéresse également c’est ta progression. Par quoi tu as commencé, comment tu t’y es pris, sur quoi tu t’es appuyée. Parce qu’au final c’est comme les champignons il faut être sûr de son coup ! J’aimerai bien aussi savoir quelles plantes sont en voie de disparition pour pouvoir les réimplanter volontairement.
    Merci à toi

  5. Bonjour Nathalie!
    Un tout grand merci pour tous tes articles et vidéos! Je m’intéresse depuis toujours aux plantes sauvages, les reconnaître, connaître leurs propriétés, etc. Depuis qu’un jour, c’était dans les années 70 (j’étais adolescente!) je tombe sur un des livres de Mességué. Désormais, comme je jouis d’une bonne santé, je préfère apprendre à les cuisiner plutôt que les utiliser comme plantes médicinales. J’ai plusieurs bouquins sur la cuisine des plantes sauvages, mais rien ne m’a autant inspirée que tes articles! Parce que ce sont des recettes simples, pour tous les jours, rien de compliqué ni tarabiscoté. Que tu continues sur cette lancée, c’est ce que je souhaite. Des desserts peut-être? En tout cas je te félicite et je te remercie de tout coeur.

    1. Bonjour Danielle,
      Merci de nous partager ton parcours et merci pour les compliments ! 🙂
      Je note pour les desserts et pour rester simple…
      A bientôt par écran interposé, mais toujours au milieu des plantes !

  6. Bonjour,
    Je me demande plusieurs choses : qu’elles est la différence -poitn de vue propriétes médicinales- ente l’épiaire des bois ( Stachys sylvatica) et épiaire officinale (bétoine). Même question entre la verveine (la verveine citronnée et l’officinale). Comment reconnaitre mon plant entre « mauve et guimauve » ? Et enfin, certains disent que les tisanes de fleurs et jeunes feuilles de bourraches seraient toxiques (vrai/faux) MERCI! 🙂

    1. Bonjour Anouck,
      Selon Gérard Ducerf l’épiaire des bois (stachys sylvatica) est tonique, diurétique, vulnéraire, stomachique, sédative pelvien, circulatoire, astringeante et expectorante (plante entière fleurie). La bétoine (stachys officinalis) est vulnéraire, stomachique, sédative pelivien, astringeante et expectorante (plantes entière fleurie). Donc les propriétés sont très proches, comme souvent pour le même genre.
      La verveine citronnelle (Lippia citriodora), n’est pas une plante sauvage en France mais elle est cultivée. Elle facilite la digestion et réduit la nervosité.
      La verveine officinale (verbena officinalis), plante sauvage de chez nous, n’est pas odorante. Elle est tonique, amère et digestive et stimule les défenses immunitaires.
      Je cite Gérard Ducerf car je suis plus spécialisée sur les plantes comestibles, même si la partie médicinale m’intéresse évidemment, mais j’y suis moins experte.
      Je ferai une vidéo sur les plantes de la famille des bourraches, effectivement controversées.
      Merci à vous

  7. Bonjour Nathalie

    Il y a près de chez moi dans un terrain vague , du fenouil sauvage , est il comestible ? Et comment puis je l utiliser ?
    En espérant participer à une de vos sorties …patience , patience
    En attendant le jour J sur la sterne avec Bertrand
    Comment conserver des plantes aromatiques ?
    Bien amicalement à vous deux
    Anne Marie SOULIER

    1. Bonjour Anne-Marie,
      Merci pour vos questions. Le fenouil sauvage est comestible . A condition de l’avoir identifié avec certitude, les feuilles de fenouil sauvage se mangent en salade ou en légume. Ses fleurs et graines parfument délicieusement les plats.
      Je ferai une vidéo sur la conservation des plantes, c’est une question qui est régulièrement posée.
      Bertrand attend le feu vert de la préfecture pour reprendre les sorties en bateau et je ne devrait pas tarder à reprendre les sorties. Nous vous tiendrons au courant.
      Amitiés, Nathalie

  8. Bonjour,
    Ma question concerne des plantes qui se ressemblent beaucoup, je n’arrive pas à les identifier avec certitude, dans l’objectif de les consommer. La difficulté des recherches sur internet, c’est que chaque article en concerne une seule, et c’est très difficile de les comparer (pas même critères de présentation, qualités de photos différentes, pas prise à la même saison, etc.). Ce serait super chouette d’avoir un article qui les présentent toutes, qu’on puisse les différencier et identifier celles qui sont consommables. Il y a certainement des noms que je ne connais pas, mais d’après mes recherches, ça tourne autour des rumex : oseille sauvage, oseille-épinard, oseille crépue, patienceS, doche, etc. Il y en a certainement d’autres, qui leur ressemblent beaucoup… Merci d’avance!

  9. Bonjour Nathalie,
    J’étais tentée par ta recette de gaufres aux pâquerettes, car nous avions ces fleurs chez nous.
    Mais je n’ai pas osé, car j’ai une peur bleue de me tromper, par rapport à la compréhension
    des instructions au sujet des plantes à cueillir (par exemple : si ce n’était pas les mêmes pâquerettes!), et donc d’empoisonner tout le monde !
    Comment pourrais-je y remédier ? Merci !

    1. Bonjour Carole,
      C’est bien d’être prudent. Dès que l’on a un doute, il vaut mieux s’abstenir, en effet.
      Pour gagner en assurance, le mieux c’est d’aller sur le terrain avec des experts (j’espère bien reprendre mes sorties bientôt) et de voir les plantes dans leur milieu en s’imprégnant bien des critères de reconnaissance. Un autre moyen c’est d’utiliser une flore et de vérifier chaque critère d’identification un par un en comparant avec la plante que l’on a sous les yeux. Je présenterai des livres utiles dans une prochaine publication. C’est sûr que c’est un peu fastidieux, mais ça vaut la peine et on découvre plein de merveilles !

  10. Bonjour Nathalie
    Je suis nouvelle arrivée mais je m intéresse aux plantes depuis un moment notamment pour leurs propriétés médicinales. J en mange certaines mais j ai un gros doute sur la carotte sauvage , j ai lu qu on pouvait la confondre avec la ciguë et je n ai pas trouvé de photos qui me rassure . En aurais tu ainsi qu une astuce pour être sûre ?
    Merci et belle journée

    1. Bonjour Dominique,
      La carotte sauvage fait partie des apiacées (ombellifères) qui se ressemblent toutes et dont certaines sont très toxiques, en effet. Je ferai une vidéo sur la carotte sauvage quand elle fleurira. Au centre de l’inforescence il y a souvent une fleur noire, c’est la particularité de la carotte qui permet se fixer quand on a un doute.

    2. Bonjour Dominique,
      La carotte sauvage fait partie des apiacées (ombellifères) qui se ressemblent toutes et dont certaines sont très toxiques, en effet. Je ferai une vidéo sur la carotte sauvage quand elle fleurira. Au centre de l’inforescence il y a souvent une fleur noire, c’est la particularité de la carotte qui permet se fixer quand on a un doute.

  11. Un grand merci pour tes vidéos accesibles à tous
    Jusque maintenant j ‘ai chercher ce genre d’information simple dans la forme et le contenu
    Je viens de prendre connaissance de la mine d ‘or que tu nous offre, donc je n ‘ai pas encore fait d ‘essais de ceuillette, ni de recette
    Mais j ai hâte d’une prochaine video surtout ne change rien sauf le poid des plantes fraiches qui n ‘est pas indiquée car la valeur d ‘un bol est variable
    Merci vraiment pour ce don car de nous jour trouve des informations de cette qualité est souvent payant
    Prends soin de toi aussi

  12. Bonjour,
    Merci pour votre site et vos belles explications et recettes.
    Pour ma part une video sur la reconnaissance des salades sauvages ( en rosette ):critères de reconnaissance ,differences ,périodes de cueillette etc serait un cadeau .
    Merci et surtout bonne continuation à vous

  13. Mille mercis pour vos articles vos vidéos et votre générosité de partage. On sent votre enthousiasme et que vous vivez entièrement votre passion et c’est beau.
    Votre site m’inspire beaucoup et m’a donné beaucoup de joie pendant le confinement.
    Je vous souhaite un très très beau weekend! 🌞🌺

  14. Bonjour Nathalie,
    Je viens de survoler vos recettes dans le livret des 10 recettes.
    J’ai dans mon potager des plants de consoude tout récemment plantés . J’ai semés cette année de l’origan, de l’oseille, thym, romarin, sauge. J’ai également prévu de semer de l’aïl des ours. Tous les ans je sème des « engrais verts » (bourrache, moutarde….) , tous ses semis sont bio venant de chez Germinance comme tous les autres plants du potager; il y a aussi des pieds d’ortie qui poussent spontanément à l’ombre des arbustes. Je vis dans une ruelle d’un quartier résidentiel d’un petit village à la périphérie de Besançon ; la circulation des véhicules est celle des habitants, donc très peu de véhicules circulent.
    D’où ma question ; puis-je consommer toutes ses plantes qui poussent (spontanément ou pas) dans mon jardin, ou mettez vous un bémol sur certaines.
    J’ai hâte de tester vos recettes.
    Vous remerciant pour vos conseils. 🙂
    Joëlle

    1. Bonjour Joëlle,
      Si c’est la pollution émise par les véhicules des passants qui vous fait hésiter quant à la consommation des plantes de votre jardin, je vous dis, allez-y, n’hésitez plus ! Même le paysan bio le plus consciencieux ne pourra pas éviter le fait que des véhicules passent à proximité de ses champs. Vos plants et vos semences sont bio, vous n’épandez aucun produit chimique sur vos plantes… Dans le monde dans lequel nous vivons, on ne peut guerre faire mieux ! 🙂 Je vous souhaite beaucoup de plaisir à expérimenter les recettes !

  15. Bonjour à vous… et encore merci pour la qualité de vos vidéos.
    La découverte de plantes sauvages est devenue depuis un an une réelle addiction et je commence à connaître une bonne vingtaine de plantes comestibles. J’adoooore cuisiner mais je les fais bouillir la plupart du temps pour éviter les parasites et je rêve de les manger crus pour leurs bienfaits et le plaisir de gober la nature. Mais voilà, j’ai un blocage total à cause de ces satanés parasites qui donnent de sacrés maladies comme la douve du foie ou l’echinococose . Du coup je me prive du meilleur de la nature. Peut-être pouvez-vous faire une vidéo là-dessus et nous donner quelques tuyaux à moins que vous l’ayez déjà fait, auquel cas pouvez-vous me donner le lien.
    Aussi, J’aimerais beaucoup suivre un stage avec vous mais j’habite à 200 km et, à la journée ça risque d’être un peu loin alors proposez vous des stages sur plusieurs jours ?
    Bonne continuation

    1. Bonjour et merci pour votre commentaire.
      En effet, il y a un risque de contamination avec les parasites.
      La douve du foie est limitée aux plantes poussant dans ou à proximité des cours d’eau si ceux-là sont en contact avec des animaux comme les vaches et les moutons.
      L’échinococcose est une maladie qui n’est pas présente partout. En France elle est présente dans l’Est et dans certaines parties du Massif Central. Ce qu’il faut savoir c’est le nombre d’infections à l’échinococcose en France est très faible (moins de 40 cas par an) et elle touche surtout des propriétaires de chiens et de chats qui peuvent également transmettre ce parasite. Personnellement je relativise en me disant que les renards (et chiens et chats) se baladent bien aussi la nuit dans des champs de salade. Alors pourquoi faire la différence entre la laitue que j’achète chez le maraîcher et le pissenlit qui pousse juste à côté ?
      La règle de base est simple : si vous avez un doute, faites cuire. Par contre ce serait dommage de se priver tout le temps de plantes sauvages crues surtout si vous habitez dans une région pas ou peu touchée.

  16. Merci beaucoup d’avoir pris le temps de me répondre longuement. .. et oui votre réponse est d’une logique implacable.
    Bien à vous

  17. Bonjour,
    J’ai une question un peu spécifique, je ne sais pas si vous pourrez m’aider 🙂
    J’ai réalisé pour la première fois mon maitrank (ou « vin de mai ») avec de l’aspérule odorante de mon jardin (fraîchement cueillie juste avant de l’infuser dans le vin), et au moment de le filtrer après l’avoir laisser mariner 48h, je vois que le bout des feuilles et les boutons floraux ont noirci. Comme j’ai lu que l’aspérule pouvait devenir toxique si elle noircissait ou moisissait au séchage, je m’inquiète de savoir si cela est également un risque lors de l’infusion de l’aspérule dans du vin ?
    Merci de votre proposition de répondre aux questions, et pour votre beau projet de blog que je vais m’empresser d’aller découvrir ! 🙂

  18. Bonjour Marie,
    Il est dans les ouvrages question de moisissure des feuilles qui créeraient du dicoumarol, anivitamine K qui peut causer de graves hémorragies. Alors est-ce de la moisissure qui s’est créé lors de votre macération ? Pour de la moisissure il faut du contact avec l’air. Alors s’agit-il des parties émergées de l’aspérule qui ont changé de couleur ? Peut-être faudrait-il faire en sorte que l’aspérule reste bien immergée dans le vin…

    1. Bonjour Nathalie, non les feuilles étaient bien immergées là où elles ont noirci, c’est ce qui m’a étonnée. Pensez-vous du coup qu’il puisse y avoir un risque à le consommer ?

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